Travaux de busage : des règles à respecter

Les travaux de busage, nécessaires à l’évacuation des eaux pluviales, doivent être réalisés en suivant des règles spécifiques sur les voies communales.

Les travaux de busage peuvent être réalisés pour différents types d’accès entre les voies communales et les terrains privés : accès à une maison, pont agricole ou professionnel, agrément.

Tout type de travaux de busage nécessite d’informer la mairie de votre intention de réaliser un chantier en remplissant le formulaire de demande de busage mis à disposition dans cette page ainsi que la Déclaration d’Intention de Commencement de Travaux (DICT) disponible sur le site service-public.fr

Une conformité à respecter

Le service voirie de la commune peut effectuer les travaux de busage. Ces travaux comprennent le curage, la fourniture des matériels (buses, tuyaux, caniveaux) la pose et le remblai…

Les coûts des travaux sont définis selon les dimensions des buses et des prestations choisies. Exemples de tarifs :

  • Pose de buse (300 mm) : 300 € pour 6 m, 450 € pour 9 m
  • Regard béton avec grille : 250 €
  • Pose de caniveaux : 60 € par mètre linéaire
  • Apport de matériau noble : 30 € par m³

Vous pouvez également réaliser ces travaux par vos soins selon les normes établis dans le cahier des charges disponible ci-après. Un contrôle post-travaux sera alors effectué. En cas de non-conformité, les travaux devront être démolis à vos frais.

Réglementation, tarifs, et formulaire à télécharger

Le document ci-dessous comprend :

  • La réglementation des travaux sur le réseau d’assainissement des eaux pluviales.
  • Le formulaire de demande de pose de buses sur la voirie communale (ou à compléter en ligne ci-dessous).
  • Les tarifs de busage effectués par les services communaux.
  • Les cahiers de charges concernant la pose de puses en milieu urbain et en milieu rural.

Formulaire à compléter en ligne

Vous pouvez également réaliser votre demande de pose de busage en ligne via le formulaire ci-dessous.
Les cahiers de charges, les tarifs et la réglementation concernant le busage sont à consulter dans le document à télécharger plus haut.

Fiche pratique

Ouvrir un établissement secondaire ou complémentaire

Vérifié le 31/01/2023 - Direction de l'information légale et administrative (Première ministre)

Ouvrir un nouvel établissement permet d'étendre l'influence de votre entreprise et de gagner des parts de marchés en ciblant une nouvelle clientèle. Il peut s'agir d'un établissement secondaire (qui se situe dans un nouveau département) ou d'un établissement complémentaire (qui se situe dans le même département que votre établissement principal).

L'établissement secondaire est un lieu d'exploitation de l'activité, distinct de l'établissement principal, qui permet à l'entreprise de gagner en visibilité dans un autre secteur géographique.

Il peut prendre la forme d'une nouvelle boutique, d'une agence ou d'un bureau, avec des représentants distincts.

L'établissement secondaire est situé hors du ressort du tribunal où l'établissement principal est déjà immatriculé.

Il fait partie intégrante de l'entreprise, mais il a sa propre immatriculation au RCS et au RNE.

Si l'établissement secondaire bénéficie d'une certaine autonomie de gestion, il n'a cependant pas de personnalité juridique propre, distincte de la société. La société et ses établissements sont une seule et même entité, une seule personne morale.

 À noter

Les chambres des métiers et de l'artisanat (CMA) mettent à votre disposition des bourses aux locaux répertoriant les locaux disponibles à la location ou à l'achat, dans chaque département.

L'ouverture d'un établissement secondaire entraîne l'immatriculation obligatoire du nouvel établissement au RCS et au RNE dans la limite d'1 mois avant ou après l'ouverture.

Quelles pièces à fournir ?

Lors de la déclaration, vous devez transmettre les pièces justificatives suivantes :

  • En cas de location-gérance du nouvel établissement : copie du contrat de location-gérance
  • En cas d'exercice d'une activité réglementée : copie ou original de l'autorisation ou de la déclaration préalable

À qui s'adresser ?

L'immatriculation doit être effectuée sur place auprès de l'organisme compétent :

Quelles pièces à fournir ?

Lors de la déclaration, vous devez transmettre les pièces justificatives suivantes :

  • En cas de location-gérance du nouvel établissement : copie du contrat de location-gérance
  • En cas d'exercice d'une activité réglementée : copie ou original de l'autorisation ou de la déclaration préalable

À qui s'adresser ?

L'immatriculation doit être effectuée sur place auprès de l'organisme compétent :

Si vous êtes libéral ou artiste-auteur, vous devez réaliser la démarche en ligne, sur le site cfe.urssaf.fr.

  À savoir

Lorsque le nouvel établissement est immatriculé, vous recevez un numéro Siret supplémentaire. Vous disposez alors de 2 numéros Siret, l'un pour votre établissement principal et l'autre pour votre établissement secondaire.

La déclaration de l'établissement secondaire est obligatoire.

L'absence de déclaration est assimilée à une dissimulation d'activité, un délit puni de 3 ans d'emprisonnement et 45 000 € d'amende.

L'établissement complémentaire est un lieu d'exploitation de l'activité, distinct de l'établissement principal, qui permet à l'entreprise de gagner en visibilité dans un autre secteur géographique.

Il peut prendre la forme d'une nouvelle boutique, d'une agence ou d'un bureau, avec des représentants distincts.

L'établissement complémentaire est situé dans le ressort du tribunal où l'établissement principal est déjà immatriculé.

Il fait partie intégrante de l'entreprise, mais il a sa propre immatriculation au RCS et au RNE .

Si l'établissement complémentaire bénéficie d'une certaine autonomie quant à sa gestion, il n'a cependant pas de personnalité juridique propre, distincte de la société.

La société et ses établissements sont une seule et même entité, une seule personne morale.

 À noter

les chambres des métiers et de l'artisanat (CMA) mettent à votre disposition des bourses aux locaux répertoriant les locaux disponibles à la location ou à l'achat, dans chaque département.

L'ouverture d'un établissement complémentaire entraîne l'immatriculation obligatoire du nouvel établissement au RCS et RNE dans le délai d'1 mois avant ou après l'ouverture.

Quelles pièces à fournir ?

Lors de la déclaration, vous devez transmettre les pièces justificatives suivantes :

  • En cas de location-gérance du nouvel établissement : copie du contrat de location-gérance
  • En cas d'exercice d'une activité réglementée : copie ou original de l'autorisation ou de la déclaration préalable

À qui s'adresser ?

L'immatriculation doit être effectuée sur place auprès de l'organisme compétent :

Quelles pièces à fournir ?

Lors de la déclaration, vous devez transmettre les pièces justificatives suivantes :

  • En cas de location-gérance du nouvel établissement : copie du contrat de location-gérance
  • En cas d'exercice d'une activité réglementée : copie ou original de l'autorisation ou de la déclaration préalable

À qui s'adresser ?

L'immatriculation doit être effectuée sur place auprès de l'organisme compétent :

Si vous êtes libéral ou artiste-auteur, vous devez réaliser la démarche en ligne, sur le site cfe.urssaf.fr.

  À savoir

Lorsque le nouvel établissement est immatriculé, vous recevez un numéro SIRET supplémentaire. Vous disposez alors de 2 numéros SIRET, l'un pour votre établissement principal et l'autre pour votre établissement complémentaire.

La déclaration de l'établissement complémentaire est obligatoire.

L'absence de déclaration est assimilée à une dissimulation d'activité, un délit puni de 3 ans d'emprisonnement et 45 000 € d'amende.